La Légion Masquée
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La Légion Masquée

La forteresse de la Légion Masquée.
 
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 Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre]

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Citizen1245

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MessageSujet: Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre]   Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre] Icon_minitimeDim 23 Déc - 11:17

La Légion Masquée est autour d'un feu de camp, il fait nuit noir, il est sans-doute 22h et tout le monde se prépare à faire du camping sauvage ce soir. Je m'ennuie un peu, et il y a un grand silence, personne ne parle. Pourtant il faudrait un peu d'ambiance, c'est le minimum dans un groupe. Je me décide donc à briser la glace.

-Alors... Comment vous en êtes arrivez là ? Enfin, je sais qu'on est tous parti ensemble de la ville pourrie. Mais la question que je me posais, c'est comment vous en avez acquis le masque ? Avant la rencontre entre nous tous. Que c'est-il passé avant que l'on se voit tous pour la première fois ?

Les gens me regardent bizarrement, ils n'ont pas l'air d'adhérer à l'idée.

-Bon bah... Je suppose que c'est à moi de commencer.
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Citizen1245

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MessageSujet: Re: Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre]   Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre] Icon_minitimeDim 23 Déc - 12:20

"Bon... Tout à commencé il y a 5 ans de cela.

À cette époque là j'étais juste un simple survivant venant d'Old-New-York, la ville dévastée le plus dangereuse du pays. J'habitais sur le désert de Manhattan, à quelques pas seulement du camps des manhunters de Proxian-Billy. Enfin, passons les détails et le jargons propre à mon ancienne vie de citadin.

Je vivais avec ma mère et mon petit-frère dans les reste d'un immeuble d'affaire, on avait utilisé les bureaux déjà présent pour se faire des planches pour renforcer la porte pour les soirées agitées d'Old-New-York. Même si dans l'ensemble c'était sûr, je ne fermais jamais l'oeil de la nuit, j'avais trop peur pour ma famille.

Un matin, je suis parti à Fallen-SkyCity (l'ancienne station aérienne qui s'est crashé sur la dune de l'Empire-State-Building) pour y acheter quelques équipements aux marchands de là-bas pour la maison. Je négociais le prix pour un magnifique masque à gaz qui me serait bien utile (il m'en réclamait 5 planches et une poignée de munitions ! C'était bien trop) quand un bruit de moteur se fit entendre au loin.

-C'est quoi ce bruit ? Demandais-je au marchand.
-Planque-toi gamin, ce sont les bandits motard ! Ils sont horribles ! Ils te tueront !

Je me cacha avec l'homme dans sa planque pendant que les bandits volaient et pillaient la zone. J'avais eu peur pour ma vie encore plus que contre les zombies la nuit, ils n'ont pas du tout l'air commodes ceux là...
Il voulurent mettre le feu à la zone, mais heureusement l'homme de la ville arriva, Mark Greenfield les fit fuir par sa simple présence. Il reprirent leurs motos et s'en allèrent au Nord-Ouest. Je n'avais pas encore réalisé... Mais ils allaient vers ma maison et ma famille.
Quand je compris la situation, je me décida à courir, je n'avais pas le temps de traîner, je laissa les ressources que j'avais amenée là-bas j'attrapais le masque à gaz à verre verdâtre et m'en alla le plus vite possible.

Je couru à travers le désert de Manhattan, je descendis l'Empire-State-Dune et arriva jusqu'à l'immeuble qu'on squattait ma famille et moi. Mais à la première vue, le pire que j'avais imaginé semblait s'être réalisé, de la fumée s'échappait de l'immeuble.
Je vis la porte d'entrée défoncée, les escaliers tagués de l'emblême du gang motard, l'étage où je vivais dévasté, détruit, et finalement, je vis le pire, ma mère tuée, gisait au sol, et aucune trace de mon frère. La rage et la tristesse montait en moi, il fallait que je fasse quelque chose. Je pris ce masque et je le mis sur ma tête et je vis la vie en vert, neutre de toute émotion, telle qu'elle va devoir être. Même s'il fallait que je les venge..."

"Je ne me sens pas vraiment prêt en fait à raconter la suite... Si quelqu'un veut bien prendre la parole et nous raconter son histoire ou une partie de celle-ci."
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Sirius37

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MessageSujet: Re: Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre]   Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre] Icon_minitimeLun 24 Déc - 13:33

" - Dans ce monde, je suis né peu avant l'Armageddon qui a transformé toutes la populace terrienne en légumes assoiffés de sang. Mes souvenirs de cette époque sont donc très vagues. Je ne me souviens même pas du nom que m'ont donné mes parents, j'ai toujours pensé que je grandirais jamais comme dans les livre qu'on m'avait donné, où je pourrais m’envoler jusqu'au "Pays Imaginaire". Il faut me comprendre, à cette époque on m'avait embarqué dans un camp de survivant encadré par l'armée. Môme de 12 ans, j’étais déjà obligé de travailler, donc j'essayais de "m'évader" de ce monde avec le peu de chose que j'avais. Ma seule raison de survivre était que je devais rester près de ma petite sœur, Alice. C’est elle qui m’a nommé Sirius, elle me disait que je fus comme une étoile. Elle n'était pas vraiment ma petite sœur d’ailleurs, on s'est juste trouvé dans le même camp et je l’avais aidé le jour de la mort de sa mère.

Je ne vais pas m'éterniser sur comment le camp est tombé sous les coups des Walkers, le nom qu’on a donné aux zombies. Je vais plutôt vous parler de la ville qu'on a rejoins ensuite avec elle et une quarantaine de survivants. Je devais avoir environ 17 ans, elle 16. Alice était devenue une fille très attirante, douce et comme elle n'était pas ma vraie sœur, je tombais de plus en plus amoureux d’elle. Pour revenir à la ville, on s'en sortait plutôt bien, très bien même. Si bien qu'ils ont décidé de lui donner un nom : Contrées du Saint-Graal. Alice me disait souvent qu’elle rêvait de quitter ce monde avec moi, comme Cendrillon qui rêvait de quitter sa misérable vie de domestique pour trouver un prince charmant, son héros.

Un jour nous sommes partit dans une expédition, avec un autre gars qui s’appelait Maxime. Je l’ai rencontré en ville un jour où j’étais en train d’essayer de défendre ma sœur d’un mec qui faisait une tête de plus que moi. Vous vous doutez bien que ce dernier me mettait une bonne raclée jusqu’à que Maxime entre en scène et l’éloigne juste avec sa présence. Depuis ce jour, il me considéra comme son petit frère. Il a souvent pris ma défense et m’a déjà offert des rations. « J’en ai moins besoin que toi » était ce qu’il me disait. Il était pour moi comme un héros sortit de nulle part. Il aimait tout le monde et tout le monde l’aimait, les gens racontaient ses histoires chaque soir au bar. Je voulais donner à ma sœur tout ce que lui a put m’offrir. J’ai toutes les raisons du monde pour lui accorder ma pleine confiance. Nous sommes donc partit quelques jours de la ville. Les 2 premiers jours étaient productifs : on avait trouvé des ressources et on n’avait croisé presqu’aucun Walker. Alice avait même trouvé un drôle de masque, qu’elle m’a donné "Tu ressemble à un vrai héros avec." Me disait-elle. J’étais gêné, on ne pouvait pas me comparer à un héros. Et ce masque faisait presque peur, il était blanc et avait la vague allure d’un crâne. Je me suis longuement posé la question de qui pouvait posséder ce masque avant. Mais il suffisait à la faire sourire et ça m’était plus que suffisant pour le garder avec moi. Tout en le rangeant dans mon sac je me disais que pour une fois dans ma vie j’étais heureux, accompagné de mes amis. Au 3eme jour on a trouvé les vestiges d’un aéroport. Nous nous sommes donc séparés pour pouvoir chercher plus efficacement. Je me suis proposé pour fouiller la tour de contrôle. Maxime et elle, le hangar. Elle ne voulait pas me quitter, je lui ai donc dit :
-Arrête de faire ta gamine.
-Ne t’inquiète pas, je ne mords pas. Lui dit Maxime.
Il lâcha un bref rire et elle rougit. Avec un large sourire, je pars donc maintenant vers la tour de contrôle. La tour est complètement délabrée et la porte est bloquée. En cherchant un peu, je trouve un pied de biche, étonnamment propre, que je m’empresse d’utiliser pour ouvrir la porte. A l’intérieur un bordel pas possible et une échelle qui mène vers un étage supérieur. Je cherche donc un peu et je ne trouve rien. Déçut, je monte l’échelle et là je croise un zombie. Je lui envoye mon pied de biche dans la mâchoire, je le rate et dans la panique je tombe de l’échelle. Je me réveille avec un énorme mal de tête et couvert de sang : le zombie s’était déboité le coup en tombant avec moi un étage plus bas. Je peine a virer le cadavre du Walker et à me relever. J’ai une entaille au bras qui par miracle n’est pas infecté. En sortant de la tour, j’avais qu’une envie : oublier tout ça avec ma sœur. Arrivé au hangar, je passe par l’immense porte et j’aperçoit Maxime. Dieu soit loué… Tout va bien… Il rayonnait, il ressemblait au plus grand des héros qui venait de sortir du plus grand des combats.
-Où est Alice ?
-Je sais pas, quelque-part par là-bas…
Je m’avance donc vers l’obscurité au fond du hangar. Là-bas, Alice semblait attendre allongé par terre. Mes yeux ont mit beaucoup de temps à s’adapter à l’obscurité. Mon cerveau lui a mit beaucoup plus de temps à comprendre qu’elle ne respirait plus, la gorge ouverte et les sous vêtements baissé. Son sang coulait de sa gorge jusqu’à sa poitrine et ses yeux étaient maculés de larmes. Derrière moi une voix s’écria :
-Elle était bonne, ta sœur !



« La gloire, la justice et la paix sont les mots que brandissent joyeusement les meurtriers de ce monde. On nous dit que sans ces valeurs, les guerres seraient pires que l’enfer. Les champs de batailles ne sont pas mieux que l’enfer, ils sont l’enfer. On n’y trouve aucun espoir, juste un désespoir qui défie l’imagination. Et c’est seulement sur la douleur des vaincus que se fonde le crime de la victoire. L’humanité ne réalise pas cette vérité parce qu’à chaque fois, un brave héros éblouira les gens avec ses légendes embellies. Dans ce monde, le vainqueur est le juste, le perdant est le mal. »

J’ai repris mes esprits dans le désert. Le pied de biche pèse lourd dans ma main droite et est taché de sang. Je m’effondre, mais mes larmes ne veulent toujours pas sortir. Si je n’aurais été si égoïste elle serait encore en train de me sourire. Je l’aimais. Le dernier mot que je lui ai dit est «gamine», mes larmes ne veulent toujours pas sortir… Qu’est-ce qu’un héros ? Etais-je supposé être son héros ? Qui est le héros de cette histoire ? Dois-je suivre le même chemin que les héros ont tracé ? Les miracles n’existent pas, les héros n’existent pas. Mes larmes ne veulent toujours pas sortir. Le masque me fait mal. D’où vient ce masque ? Le masque d’un meurtrier. Un masque de regrets et de douleurs. Un masque de héros.
Un masque blanc avec une vague allure de crâne.
Un masque blanc avec une vague allure de crâne.
Un masque blanc avec une vague allure de crâne.
Un masque blanc avec une vague allure de crâne.
Un masque blanc avec une vague allure de crâne… "
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Sirius37

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MessageSujet: Re: Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre]   Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre] Icon_minitimeJeu 27 Déc - 17:05

J'aurais vraiment pas dût raconter cette histoire ... Je me sent pas bien ...
En plus il y a maintenant une atmosphère bizarre. Je me demande qui prendra la parole maintenant ? Personne peut-être ?
En tout cas j'aimerais bien entendre la suite de l'histoire de Citizen...
"-Bon ... Et cette histoire de vengence Citizen ?"
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Citizen1245

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MessageSujet: Re: Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre]   Les origines de la Légion [partie 1 : Avant la rencontre] Icon_minitimeVen 28 Déc - 9:52

"Oh désolé... J'étais assez choqué, c'est tout..."

Je prend une profonde inspiration et je continue.

"Il me fallait des armes, de l'équipement, mais surtout, savoir où ils étaient parti... Et personne ne sait mieux où sont les bandits que les chercheurs de dettes, les Manhunters. Et ça tombé bien, il y avait un groupe à 2 immeubles de là. Eux ils pouvaient m'aider, d'autant que je suis déjà allé à leur camp pour y faire des réparations ou des blindages des fois, il était temps qu'ils me repayent. Alors je pris mon sac et j'allai jusqu'à l'immeuble en question, reconnaissable à la grosse marque sur la devanture au nom de leur chef : 'Proxian-Billy'. Je suis entré dans le bâtiment et je fus immédiatement reconnu.

-C'est bon les gars, c'est pas un bandit, c'est ce bon vieux Julian. Avec un drôle de masque, mais je reconnais son petit corps fébrile.
-Des bandits... Vous les avez vu ?
-Ils se sont attaqué à nous les cons, on en a buté 2 mais on a pas pu en faire plus, ils sont bien équipé.
-Avec quoi ?
-Je ne sais pas, j'ai jamais vu ça, j'ai juré un moment que le gars m'a tiré dessus avec... Une pile AA 6V...
-Mais quel genre d'arme est-ce ? Un lance-pile ?
-Je ne sais pas du tout... Mais ça a l'air de venir droit de dehors... Je veux dire... L'Outre-Monde. Et personnellement, je ne vais pas dans ces terres désolés et dangereuse.
-Et si moi je veux y aller ?
-Il faut être fou ! Que peux-tu bien chercher là-bas ?
-Une vengeance.
-Bien, si tu veux aller dans l'Outre-Monde, il te faut d'abord du muscle, ensuite il te faut des armes, et enfin, une bonne armure, parce qu'il n'y a pas que les zombies qu'il faut craindre dans cette région.
-Je commencerai avec l'équipement, vous avez quoi ? Car sachant que j'ai fait de très nombreuse réparation ici, vous me devez bien de quoi équiper un homme.
-Viens avec moi.

Ce Manhunter, c'était Joël, un vrai pote. Il m'emmena vers Billy, le chef de la bande. Il y eu une longue discussion entre moi et lui, et ce qu'il me disa c'était tout ce qu'il savait sur ces bandits. Ils viennent bien de l'Outre-Monde, hors de la zone d'Old-New-York, mais en plus, ils viennent de plus loin encore, Ils vivraient dans une base dans la ville de Blood-Beach-City (aussi communément appelée : Old-Miami). La raison pour laquelle ils étaient ici ? Un objet que recherchais leur chef. Mais maintenant qu'ils l'avaient, ils retournaient chez eux, dans le sud. Ma route allé être longue, et je devais être préparé. Billy me proposa de m'entraîner avant.
Et ainsi je restai 6 mois dans leur repère, j'apprenais l'art du combat au corps à corps à l'aide d'un démonte-pneu. J'aidais les Manhunters quand je le pouvais. Puis, à la fin de mon entraînement, j'étais devenu un homme, un vrai, capable de me battre contre l'Outre-Monde. Je me mis donc en route, accompagné par Joël. Ma première étape, quitter l'île du désert de Manhattan. Joël fut chargé de m'accompagner, au moins jusqu'au pont. Nous partîmes juste après l'attaque de minuit au grand pont Ouest. On marchais pendant des heures à travers les débris, on a dû prendre un grand détour pour éviter les zombies de jour, les corbeaux infectés ou encore certains bandits. On a même dû passer par les égouts à un moment. Un étape difficile, je n'avais que ma barre de fer avec moi, et lui il avait son arbalète.

-Fait attention où tu met les pieds Julian, c'est dangereux aussi sous terre.
-Il n'y a plus aucun endroit sûr de toute façon.
-Qui sait ce que nous pourrons rencontrer ici ?

Je sentais une ombre nous suivre, mais je préférais me taire là-dessus, j'hallucinais peut-être, et puis ma vision était peut-être altéré avec mon masque aux yeux verts. Après avoir marcher 20 minutes dans les égouts, on a fini par trouver la fin. Il ne restait plus qu'une bouche d'égout à ouvrir, et on serait à 10m du pont. Joël avait ouvert l'entrée en premier.

-Reste là Julian ! Je vais d'abord en éclaireur !

Je patientai pendant 5 bonnes minutes. Puis il passa sa tête dans l'ouverture.

-C'est bon ! Tu peux passer !

Je montais alors l'échelle, quand quelque chose m'attrapa le pied ! Je tombai au sol et je vis une horreur ! Une goule en état de voracité, il est dit qu'on en voit qu'une fois dans sa vie, avant qu'elle ne vous dévore. Autant dire que j'avais peur pour mon cul si vous me pardonnez l'expression ! Je me débattais, elle allait me mordre la chienne de goule ! Mais une flèche alla se loger dans son crâne en moins de deux. Merci à Joël. Je sortais du trou.

-Merci mon ami ! Sans toi je serais mort !
-De rien... Voilà le pont ! Passe-le, et tu seras à Jersey ! Moi ma route s'arrête ici.
-Tu ne viens pas avec moi ?
-L'Outre-Monde, c'est pas pour moi. C'est ta quête.
-Merci pour tout, j'espère qu'on se reverra.
-N'espère pas trop.

Et sur ces mots, Joël s'en alla, pour toujours. Et moi, je pris ce pont."

"Bon bah c'est pas tout, mais j'ai l'air d’assommer tout le monde avec mon histoire. Quelqu'un ?"
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